En matière de blogging, je souffre souvent du syndrome de la page blanche. Impossible d’écrire un mot pendant une heure, puis deux, puis une journée, deux jours, voire plus. J’ai le sujet, l’histoire en tête, j’ai les informations, mais lorsque je parviens à écrire, les lignes couchées sur la feuille sont terriblement mauvaises. J’efface, je recommence, je me prends la tête, je m’agace, puis je m’énerve, et de guerre lasse, j’abandonne. Quand les gens m’interrogent, …