J’ai envie de vous partager une réflexion…
Chaque numéro de Foodîles, le magazine totalement #food, est une victoire après un marathon semé d’embûches.
C’est un magazine gratuit. Il faut donc des annonceurs. Je parle souvent de la rédaction. Cependant, je dois aussi saluer notre équipe commerciale qui effectue un travail sur le terrain formidable.
Quand vous lisez Foodîles, vous voyez, je l’espère, la richesse du contenu, la beauté des photos, la diversité des interviewés. C’est vous qui me le dites à chaque fois et j’en suis très heureuse.
Cependant, vous ne voyez pas, bien sûr, les heures à prendre des rendez-vous, à commercialiser, à écrire, à photographier, à mettre en page, à relire et relire encore, à imprimer, à distribuer. Sortir un numéro implique de faire appel à des compétences, à des professionnels et de les payer, bien sûr. Merci aux annonceurs qui nous permettent d’avoir le budget indispensable pour continuer. J’ai une pensée pour Anform, un énième magazine qui s’arrête… Hélas !
Plus j’interviewe d’acteurs du monde culinaire, plus je découvre des talents et des savoirs-faire, plus j’apprends sur les problématiques, les enjeux, et plus je me dis que Foodîles est nécessaire. Néanmoins, compte tenu de tout ce que je vous ai expliqué auparavant et du contexte économique difficile, je me demande aussi : combien de temps pourrons-nous continuer ? Je ne saurais le dire…
En attendant, #letravailcontinue.
La sortie du numéro 15 est prévue pour cette fin d’année. Nous préparons un collector pour marquer les 10 ans de Foodîles. Le thème sera : Transmettre.
L’équipe travaille déjà d’arrache-pied pour produire un support de qualité.
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