En matière de blogging, je souffre souvent du syndrome de la page blanche.
Impossible d’écrire un mot pendant une heure, puis deux, puis une journée, deux jours, voire plus. J’ai le sujet, l’histoire en tête, j’ai les informations, mais lorsque je parviens à écrire, les lignes couchées sur la feuille sont terriblement mauvaises. J’efface, je recommence, je me prends la tête, je m’agace, puis je m’énerve, et de guerre lasse, j’abandonne.
Quand les gens m’interrogent, je leur dis que je manque d’inspiration. C’est ma manière la plus simple d’expliquer, même si dans ma tête, c’est bien plus compliqué. Comment traduire ce blocage, lié à tout et à rien ?
Pour solutionner cela, j’ai développé quelques tactiques.
- Je lis. Souvent les mêmes ouvrages d’ailleurs.
- J’écoute de la musique.
- Je vais à la bibliothèque Mado, ma préférée.
- Je me promène et je fais des photos, le plus souvent de fresques et de fleurs, de plantes, d’où mes séries sur le street art et sur la nature d’ailleurs.
Et j’ai noté qu’il y a une fleur qui capte toujours mon attention : l’hibiscus. J’aime sa délicatesse, ses couleurs, sa beauté, sa diversité aussi. Elle a toujours un éclat différent, bien particulier.
Hier, j’ai admiré cette fleur et j’ai retrouvé l’inspiration.
Et ce n’était pas la première fois.
Et comme j’en ai l’habitude pour les billets de cette série « Nature en Guadeloupe », je termine par un morceau de musique en lien avec le sujet du billet.
J’ai donc choisi un titre issu du catalogue du label… Hibiscus Records. Le fameux « Aïe Man Man » du Caribéen Jeff Joseph.
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