Claude Landau : « connecter l’entrepreneur à lui-même, à ses potentiels » via le projet JAPE

Souvenez-vous. Début août, j’ai publié un billet de blog sur le projet de Journée Ancrage et Projection Entrepreneuriale (JAPE), porté par une équipe composée majoritairement d’entrepreneurs, dont j’ai fait la connaissance il y a quelques mois. J’en ai notamment expliqué les enjeux, ambitions, via une interview de Steve Victor-Oscar, qui en est à l’initiative et qui m’a convaincu de participer à ce projet.

Tout d’abord, il est important que je vous précise que l’événement JAPE, prévu pour septembre, est reporté pour des questions d’organisation. Je ne manquerai pas de vous communiquer la date et toutes les informations nécessaires dans les prochaines semaines.

En attendant, j’entends bien continuer à vous présenter des pans de ce projet qui prend doucement forme. Il m’est apparu indispensable de faire un premier focus sur le groupe Bien-être. Il a pour but de proposer des clés  – corps, esprit et âme – à des entrepreneurs, dans le cadre d’un week-end d’immersion, Ki Moun Ou Yé.

 

Pour vous livrer les informations essentielles, j’ai interviewé Claude Landau, membre de ce groupe. Et bien sûr, j’ai d’abord souhaité en savoir plus sur elle, son activité.

 

Vous êtes thérapeute holistique ? Pourquoi avoir choisi ce métier ? En quoi consiste-t-il ?

Je suis enseignante de métier depuis 27 ans.

J’ai porté la maladie de ma mère pendant longtemps, je me suis occupée d’elle sans formation. J’étais à la fois infirmière et psychologue. Je pense que cela a été à la base de ma quête du mieux-être, parce que parfois j’étais très démunie. De plus, j’ai toujours été passionnée par l’être humain.

En 2017, j’ai commencé par me former à la Programmation neuro-linguistique, mais cela ne m’a pas apporté toutes les réponses que je désirais. Je me suis alors formée à l’hypnose, car s’il est intéressant de travailler sur le conscient, la sphère inconsciente m’intéressait.

Chemin faisant, comme je n’étais toujours pas satisfaite, je me suis intéressée à tout ce qui était énergétique. Et là, j’ai enfin trouvé ce que je recherchais. Einstein avait raison de dire que tout est énergie, vibration, il avait déjà tout compris. Je me suis alors formée d’abord au Reiki (ndlr : pratique d’imposition des mains qui consiste en une réharmonisation des centres et corps  subtiles du client). Je suis devenue maître enseignante de cette méthode.

Puis, j’ai continué à me former en soins énergétiques, en m’axant sur une capacité vibratoire de plus haute fréquence . J’ai suivi la formation sur les TAO Hands par Master Zhigang Cha au Canada. J’ai aussi étudié la kinésiologie (ndlr : tests musculaires effectués par le praticien). En ce moment, je me perfectionne sur l’antenne de Lécher, qui est un outil de radiesthésie manuel émettant des fréquences.

Aujourd’hui, je dispose d’une palette d’outils, comme un peintre, grâce à laquelle j’effectue des soins énergétiques en profondeur.

Le terme holistique est souvent incompris. Pouvez-vous nous en dire plus ? 

Holistique, cela veut dire que la globalité de l’individu est prise en charge.

Nous ne sommes pas que des corps physiques. Je trouve qu’en Guadeloupe, nous n’avons pas encore suffisamment cette perception du monde subtil.

Le corps physique est le dernier lieu d’expression de nos troubles physiologiques et de nos maladies. Notre population doit prendre conscience de l’importance de la prévention, d’aller rechercher les sources psycho-émotionnelles des maladies et/ou blocages. Il faut prendre soin de soi, à titre préventif, par l’alimentation, la respiration, la méditation, le yoga, des pratiques vibratoires et énergétiques.

 

Pourquoi avez-vous décidé de participer au projet JAPE ? Quels sont vos objectifs ?

Lorsque Steve Victor-Oscar m’a exposé ce projet centré sur l’humain, j’ai trouvé l’idée intéressante, car j’ai tout de suite fait le lien avec l’accompagnement sur l’amour de soi que je propose à mes clients. En effet, je me suis aperçue que le point de départ est souvent un manque d’amour de soi. On ne nous apprend pas à nous aimer, certains ne savent pas comment faire.  Moi-même, j’étais dans le lot, puisque j’ai fait passer les autres avant moi pendant un certain nombre d’années.

Avec le groupe bien-être, il s’agit d’appliquer mon accompagnement sur l’amour de soi au domaine entrepreneurial.

Cela a d’autant plus éveillé mon intérêt que cela me semble innovant, susceptible d’apporter un plus.

 

Quels sont les autres membres du groupe bien-être ? Qu’allez-vous proposer ?

Steve Victor-Oscar a été à l’initiative de ce groupe, en faisant les mises en relation. Nous sommes trois qui proposeront des week-end Ki Moun Ou Yé – corps, esprit et âme.

 

La première est Anaïs Forbin qui va s’occuper de l’aspect yoga.

Selon elle, les mots qui la définissent sont : rayonner, transmettre et aimer. Son accompagnement permet de transcender et d’acquérir une certaine vision.

 

 

Le deuxième intervenant est Fabrice Garimé, Na-T de son nom d’artiste. C’est un autodidacte, déterminé et créatif.

À travers son accompagnement, il met l’accent sur l’ancrage et l’aspect créatif en utilisant des graines d’abondance. Par ces graines, le participant sera connecté à cette nature si riche et diverse qu’on connaît en Guadeloupe.

 

Et moi-même, je vais m’occuper du corps, avec la réflexologie palmaire, parce que c’est intéressant d’apprendre à se détendre, et l’automassage qui est un des moyens les plus faciles à mettre en œuvre. Je vais aussi m’intéresser à l’esprit, en reprogrammant le mindset de l’entrepreneur en mindset de leadership. Quelles sont ses croyances par rapport à l’argent, au succès ? Quelles sont ses peurs ? Enfin, pour l’âme, il s’agira de se connecter, de s’aligner et de déterminer si le participant est bien ancré dans ce qu’il souhaite faire.

 

L’un de nos objectifs est de connecter chaque participant à lui-même, à sa toute-puissance, à ses potentiels, qu’il n’a peut-être pas encore explorés.

 

Quel est le format pour ce week-end Ki Moun Ou Yé ?

Il s’agit d’un week-end d’immersion pour un groupe de maximum 9 personnes. Les participants sont pris en charge du début à la fin durant les deux jours, sauf pour l’hébergement. La restauration proposée permettra de manger sainement afin de pouvoir être attentif et actif lors des différents ateliers.

Nous interviendrons tous les trois, de manière à proposer un accompagnement qualitatif. L’accent sera mis sur la mise en confiance et l’écoute.

Toutefois, il faut bien avoir conscience que ces deux jours constitueront une mise en bouche. Celui qui veut aller plus en profondeur s’adressera ensuite directement aux différents intervenants, selon ses besoins et problématiques à résoudre.

 

Après cette présentation synthétique, il ne me reste plus qu’à ajouter que ce week-end Ki Moun Ou Yé sera proposé en formule payante. Je vous communiquerai plus d’informations par la suite.

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