Parlons de la Grande Caraïbe • Dépassons cette image de carte postale bien connue
Parlons de la Grande Caraïbe • Dépassons cette image de carte postale bien connue

J’ai détaillé les étapes de préparation et de rédaction des billets de blog, mais j’ai également évoqué le travail réalisé pour que le côté visuel soit toujours satisfaisant.
Pour ce faire, utiliser les réseaux sociaux est toujours payant. Je partage donc les billets systématiquement sur tous mes profils. J’accompagne le lien avec un petit mot particulier, histoire de donner envie aux internautes – toujours très sollicités – de lire.
Généralement, le billet partagé suscite quelques réactions auxquelles j’essaye de répondre, si besoin. Je lis et valide aussi les commentaires laissés en bas du billet, je réponds aux mails privés. Pour les portraits, j’ai souvent des questions pour joindre les interviewés, je transfère alors les demandes.
Partager le billet sur les réseaux sociaux une seule fois ne suffit vraiment pas, du fait des algorithmes mis en place et du court laps de temps durant lequel le post est « visible » pour les internautes. Je re-partage donc régulièrement sur les réseaux sociaux. Bien sûr, il existe des outils comme Hootsuite pour automatiser tout cela, mais encore faut-il les programmer !
J’utilise la plateforme la plus populaire pour bloguer : WordPress. Point besoin de coder pour avoir un site web à votre goût ! #sachezle
Cependant, il y a régulièrement des mises à jour de cette plateforme, des « extensions » – modules qu’il faut ajouter – permettant d’avoir accès à des options supplémentaires, des traductions. J’ai choisi de ne rien automatiser, afin de garder la main le plus possible sur le back office et donc mon site. Toutefois, cela implique que je passe beaucoup de temps à accorder l’autorisation de faire ceci ou cela… Des tâches chronophages, je peux vous l’assurer !
Supprimer les courriers indésirables, vérifier les liens vers d’autres billets ou articles ne fonctionnant, font partie aussi du quotidien du blogueur qui gère lui-même son back office.
De temps en temps, je regarde les statistiques pour savoir quel billet a été très vu et apprécié. Néanmoins, cela ne dicte jamais ce que je vais publier. Tout est avant tout une histoire d’informations et d’inpiration.
Enfin, il y a une « facette » du back office que je redoute vraiment : le bug. Quand le site plante et qu’il faut trouver rapidement la solution. Est-ce à cause de l’hébergeur qui a un problème avec ses serveurs ? Est-ce dû à un piratage ? Est-ce causé par une mauvaise manipulation ? Il faut trouver ! Cela peut se transformer en énorme casse-tête, avec la pression qui va avec.