Mardi dernier, j’étais au Québec. Pas physiquement non, même si j’aurais bien voulu tant j’apprécie la Belle province, mais via une conférence sur « Le féminisme made in Québec », organisée par le Centre d’Analyse Géopolitique et Internationale (CAGI), le laboratoire de l’Université des Antilles et de la Guyane (UAG). L’intervenante était …