Caraibe : 3 menaces majeures concernant les zones humides

Le 25 février dernier, j’étais au domaine de Taonaba aux Abymes, pour une matinée immersive au cœur des zones humides de la ville, organisée par Parc national de la Guadeloupe, en collaboration avec l’Office de l’Eau, l’Office National des Forêts, le Pôle Relais Zones Humides Tropicales et le Conservatoire du Littoral.

« Cet évènement inédit (avait) pour objectif de vous présenter les projets de replantation et de protection sur lesquels nous travaillons ; mais également de mieux comprendre les intérêts de préservation de ces zones, au travers de mises en situation. » (extrait du communiqué de presse)

Je n’ai malheureusement pas pu effectuer tout l’eductour presse, car j’avais d’autres obligations professionnelles.Cependant, j’ai assisté à une conférence très intéressante. Maguy Dulorme a livré une foule d’informations et j’en ai partagé quelques-unes dans le cadre d’un live-Tweet.

1. Disparition inquiétante

Les zones humides de la Guadeloupe sont composées de :
– 3100 ha de mangrove
– 2600 ha de forêt marécageuse
– 310 ha de prairie humide.
Elles représentent 4% de la surface de l’archipel.
Hélas, les zones humides diminuent année après année, du fait des aménagements urbains, notamment.

« La forêt marécageuse est en train de disparaître, prise en sandwich entre la mangrove et les zones anthropiques. »

Une des solutions est de replanter des arbres, pour ralentir le processus, mais je ne peux qu’être sceptique et je ne suis pas la seule.

2. Plantes exotiques envahissantes

3. Perte d’eau conséquente

Clin d’oeil

Après la conférence, nous avons pu découvrir le travail de différents organismes, et quelques-uns des outils qu’ils utilisent.

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